Solitaire de fiançailles

Par Frédéric Fontaine - Photo bague "graphique" Chaumet

Depuis une dizaine d'années, le solitaire diamant est tenu à une certaine discrétion. L'or doit s'effacer au profit des diamants. Les différentes maisons joaillières rivalisent d'ingéniosité pour proposer des solitaires de plus en plus fin avec un corps réduit à un simple fil généralement habillé de diamants pour totalement cacher le métal. La bague jonc, coqueluche des années 90, icône de certaines maisons comme la maison Chaumet par exemple qui la déclina à l'infinie dans une version gourmande aux formes généreuses, semblait passée aux oubliettes. Mais l'histoire de la joaillerie est cyclique et a tendance à se répèter, il semblerait que la bague jonc commence de nouveau à intégrer les collections. La preuve en image.

Une bague jonc de créateur signée Ambroise Degenève dans une approche radicale mêlant l'or blanc brut de fonderie à un diamant noir serti de biais. Pour des fiançailles rock.

La maison Niessing décline sa bague jonc tension qui maintient le diamant par la seule force de pression du métal, ici une version or blanc matifiée par sablage.

Dinh Van nous livre un jonc serrure pour sceller à jamais votre amour pour elle ou pour lui car ce jonc peut tout à fait s'envisager pour les hommes qui osent le diamant.

Compagnie des gemmes avec un diamant de plus de deux carats rehaussé dans son serti clos sur corps jonc

Zoe nous propose un jonc martelé serti sans chichi d'un diamant taille rose baroque et d'une constellation de brillants.

Avec "attrape moi", Chaumet réinvente la bague jonc dans une approche très graphique.

Enfin Cartier réinterpréte le jonc période art-déco dans une combinaison de deux triangles diamant très spectaculaire.

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